DéCi Comptoir Gourmand — Restaurant in Echichens

Was a mixed experience with strong pros and cons. We ordered the 7 course special Dry January menu.

Cons: horrendously long serving time. 3.5 hours for a 7 meal menu. planning of space could be better. We were 2 people, and were seated in a corner that was really cramped and basically elbow distance from the next table. Meaning, my boyfriend and the person sitting in the next table would not have been able to lift their elbows up at the same time. It was obvious that the restaurant was trying to maximise the usage of their tables/ space (which is a great idea), but slight spacing adjustments would be better when doing so. for us, people who prefer stronger flavours (chinese and swiss tastebuds), the meal was completely lacking in flavour. Not to say it didnt taste nice, but perhaps the concept didn't suit our personal preferences. Would recommend this for people who like very subtle flavours.

Pros: the service was INCREDIBLE. Our waitress (sorry didnt catch her name) tried her best to accommodate my lack of french speaking skills, and was so passionate in explaining all the dishes + alcohol free beverages pairings. She even offered us off the menu Gruyère cheese (beautifully aged) when she realised that both of us disliked the goat cheese dessert. This was completely unexpected yet appreciated ❤️ Even the other servers were all incredibly friendly towards us throughout the whole night. It was the saving grace to the LONG night, as we got fatigued throughout the 3.5 hours of slow service. amazing desserts!!! Would honestly just come back for...

Une expérience en demi-teinte.

Nous étions impatients de découvrir ce nouveau lieu lausannois. Attirés par des critiques dithyrambiques, nous avons opté pour le menu chasse.

Une table d’hôte est censée offrir un moment de partage convivial et chaleureux. Or, pour moi, l’ambiance dépend d’abord du personnel, et sur ce point, j’ai été déçu. L’accueil froid et austère, alors que nous étions les premiers arrivés, m’a surpris. Nous découvrons cette grande table un peu perdus, on nous dit de choisir nos places pour finalement nous demander de bouger, car un groupe arrive. Nous nous retrouvons au centre de la tablée.

Nous choisissons l’accord mets et vins. La première mise en bouche est une terrine et des pickles accompagnés de pain, le tout à partager avec nos voisins de table. Puis, arrive le premier « plat » : une belle terrine présentée sur un plateau, partagée ensuite sur deux planchettes pour que chacun se serve. Délicieuse, avec un foie gras parfaitement dosé et une croûte impeccable.

Le deuxième plat, à notre grande stupéfaction, était composé de champignons et d’escargots avec une émulsion de persil, entre autres. Ni mon amie ni moi ne mangeons d’escargots. Nous avons goûté ce plat de « chasse particulière » comme on nous l’a présenté, sans le terminer.

Ensuite, arrive le cerf en gravlax, cuit dans un mélange d’épices et farci au chou rouge. C’est une question de goûts, mais nous n’avons pas compris l’intérêt de ce plat.

Puis, les buns à la vapeur revisités au civet ont été une jolie surprise.

Le plat principal était excellent, mais nous avons été un peu déçus par la portion minuscule de selle de chevreuil, accompagnée de légumes d’hiver aux couleurs bien ternes. La cuisson était parfaite, une bouchée exquise, mais si petite…

Le fromage arrive et là, c’est la douche froide. Un vacherin, certes de qualité, est posé sur la table à partager. L’assiette du plat principal, encore pleine de sauce, fait office de contenant pour ce maigre « dessert » fromage.

Ce repas a été rythmé par un service de vin aussi parcimonieux que ce fromage. Nos verres sont restés vides pendant la moitié du repas, qui a duré de 19h30 à 23h30. Mes voisins de table, des inconnus, partageaient notre sentiment et ont tenté une remarque humoristique. Le serveur leur a rétorqué qu’il fallait attendre avant de boire. Un demi-verre de vin pour deux plats ? On est loin de la convivialité d’une table d’hôte… Je note aussi qu’il est peu courtois de servir du vin sans le faire déguster. Cela a été le cas pour le délicieux Chardonnay, que nous avons eu le privilège de goûter au sens propre du terme. Je n’ai même pas tenté de faire une remarque.

Les desserts étaient bons. Servir un vin rosé en conclusion de ce repas était bien choisi, en résonance avec l’amertume que nous avons ressentie.

Je salue le travail en cuisine, car l’effort et la qualité sont indéniables. Mais je dois avouer que ce repas a laissé un goût en demi-teinte. Nous ne sommes même pas restés pour le café, et d’autres convives ont fait de même.

L’addition, quant à elle, aussi onéreuse que peu méritée pour une telle prestation, a définitivement accentué l’amertume de cette...

Malheureusement, l’expérience n‘a pas été concluante.

Tout d abord, l’accueil : alors que j’avais réservé une table pour trois, on m’a indiqué sèchement que ma table était „là au fond „ Cherchant la table, j’ai constaté que le couvert était mis pour trois sur une table à partager avec 4 autres personnes séparé par de pauvres plantes. On peut peut-être prévenir dans ce genre de situation.

La place au bout de la table est inconfortable en raison du pied de cette dernière. Manger les jambes écartées n’ est pas du meilleur effet.

Ensuite en apéro, nous avons pris un Gin agrumes et rhubarbe dont le prix était élevé : chf18.-. Surprise : on nous amène deux verres vides et on nous sert depuis la bouteille un doigt de gin et basta. Devant nos yeux surpris le serveur nous propose de la glace. Ce que nous acceptons. Mais pas d‘accompagnement du type tonic. La troisième convive arrive et prend une eau minérale, moi aussi. Une carafe est servie.

A la suite de deux explications de la carte, car nous n‘avions pas vraiment compris le fonctionnement, nous optons pour le quatuor de malakoffs et la suggestion du chef qui était un civet de cerf. Une bouteille de vin -Syrah de Cruchon- est également commandée.

Vin servi, les Malakoff arrivent: 4 mini monticules sans vraiment goût de fromage avec un fond noir mais sans être brûlé. Nous n‘avons pas identifié ce que c’était. Mais si vous connaissez les Malakoff de Luins ou Vinzel, passez votre chemin car cela n‘a rien à voir.

Ensuite arrivent une cassolette de civet avec trois poires à botzi dessus et une cassolette de Spätzli. Le serveur nous avait prévenu que les quantités étaient petites. Mais le civet était vraiment mauvais: sec , des morceaux pleins de cartilages, et autres morceaux durs. Les Spätzli étaient bons. Pas d‘autres accompagnements. Pas de légumes et ce pour CHF 36.- par personne.

Nous avons fait part de cela au serveur. Changement d’humeur radical ! Froideur complète. Après être allé en cuisine voir le chef, il nous a offert les desserts. Un carac à la chartreuse et un éclair à partager. Les desserts étaient très bons.

Ensuite, l‘abandon complet du service. Alors que les autres tables étaient bien traitées. Bref.

Ensuite l’addition. Je constate qu’on nous facture 12.- pour de l‘eau. Cela fait un peu cher le litre d’eau filtrée gazéifiée de la ville de Lausanne (pour rappel le mètre cube d eau -1000 litres- est facturé à CHF 1,83) J’en fais part au serveur qui me dit que c’était une facturation au forfait par personne à volonté. Nous n’étions pas au courant et n’avons pas reçu de l‘eau à volonté non plus. Retour auprès du chef et retrait de deux forfaits d’eau. Merci.

En somme, l’endroit est très joli, allez y uniquement boire un verre et...