We had booked the Porto Heroismo studio and had to leave within 20 minutes due to the state of the mattress. The photos speak for themselves. As you can see, the mattress is a biohazard completely drenched in stains of human fluids.
To add to this horrific experience, the property manager, Isabelle, has been unprofessional and clearly a scammer - refusing to refund the cost our 1-week stay even though we left the property within minutes as we were not provided with livable conditions.
She lied to Booking.com and claimed we never showed up to property. She lied and claimed there were no bugs in the apartment despite the photographs of the bugs I captured.
Further, we found other reviews from guests at this property who contacted the police due to uninhabitable conditions and a broken oven. Isabelle lied to the police and accused those guests of breaking said oven, despite her employee’s (Stephanny) own admission that at the oven was already broken prior to check-in. I’m attaching a screenshot of said review also.
Avoid this nightmare of a company and their disgusting properties...
Read moreEn effet lisez les réponses aux avis négatif et vous aurez une idée de ce qui peux se passer et du ton qui est employé pour vous parler quand vous contestez . Un conseil lire à la loupe toutes les clauses . Une fois payé vous n'avez plus aucunes garanties. Personnellement ils se sont vexés car nous avons contesté des frais supplémentaires appliqués . Bilan nous avons payé notre séjour , ils ne nous ont pas accueillis le jour j , ils ont annulé la réservation pour les jours suivants et nous avons du relouer pour 3 jours un autre logement en ayant payé celui ci. A partir du moment ou ce que vous dites ne plait pas tout est fait pour vous mettre en difficulté et tout est prévu pour pouvoir le faire , et aucune compréhension de leur part . C'est pire que ne pas être commerçant c'est vraiment que de la volonté de nuire. Aucun recours possible car tout est prévu dans leurs conditions de vente . Donc c'est à leur bon vouloir. Là en l’occurrence ils ont commencé par refuser une arrivée tardive qu'ils avaient préalablement accepté ( alors que nous étions justes avec l'avion), noussommes donc partis sans savoir si nous pourrions dormir, nous avons couru pour être à l'heure , c'était le cas mais il leur a suffit de dire que nous n’étions pas venus à leurs horaires pour annuler la nuité et la totalité du séjour ( 3 jours), aucune possibilité même de revenir le lendemain alors que le séjour était réglé . Et tout ça c'est écrit, enfin en petit, en anglais et si à chaque clause vous envisagez le pire vous pouvez l'anticiper. Pour y séjourner je vous conseille un avocat pour lire leur annonce et décrypter les conséquences éventuelles de chaque clause . Un huissier pour faire constater que vous arrivez et n'êtes pas accueillis , bref tout ce dont vous avez envie pour vos vacances! Ha en générale les personnes qui laissent un avis négatif sur internet se font insulter ou traiter d'handicapés visuels ou de voleurs ( je pense qu'ils ont un taux anormal d'handicapés visuels qui réservent chez eux).Le handicap visuel c'est leur explication nous on pense plutôt qu ils tentent un prix d'appel très peu cher pour doubler la concurrence et ensuite rajoutent des frais ? faites vous vote opinion.Ha aussi , réservation par Agoda qui permettent l'ajout de frais supplémentaires et ne font rien du tout ensuite pour vous aider face à de telles pratiques . Bon lisez les avis internet de droite et gauche vous verrez que je ne suis pas la seule à avoir vécu ça . Mais un conseil il y a plein de logements à porto alors pourquoi se mettre en...
Read moreEl timo de la estampita es un juego de guardería comparado con la obra de ingeniería financiera que tienen montada en este cuchitril, cuya única virtud (y ya es mucho decir) es estar bien situado… aunque con la permanente sensación de que, al doblar la esquina, te van a pasar el cepillo cual parroquiano despistado.
Lo primero a destacar: la inagotable insistencia de las propietarias (o guardianas de la cueva y sus llaves), que desde que pusimos un pie en Portugal cinco días antes no dejaron de atosigar a mi señora con mensajes para confirmar nuestra llegada. Difícil responder cuando uno anda en ruta, disfrutando del viaje y no pendiente de un chat neurótico. Al final confirmamos hora y todo… para luego tener que esperar casi media hora a que aparecieran. La precisión suiza, en versión lusa.
Al entrar, la emoción de descubrir Oporto apenas logró tapar dos cosas: el parloteo incesante de la joven que nos dio las llaves y el sablazo disfrazado de “información útil”: pago extra en efectivo por el garaje y otro por la limpieza. Ahí empezó el sainete. Según ella, en la calle no se podía aparcar porque los coches “desaparecían”. Lo primero era cierto, lo segundo era pura ciencia ficción: los coches ahí seguían, inmóviles, como estatuas rodantes durante días. Nosotros, ingenuos, nos consolamos pensando que el garaje era más seguro. Respecto a la limpieza, mejor no llamar a engaño: por aquel lugar había pasado menos jabón que por una zahurda.
El sofá lucía manchas con biografía propia, el suelo no conocía escoba desde los tiempos del último monarca portugués, el baño parecía escenario de un crimen bacteriológico y los utensilios de cocina estaban tan impregnados que hubo que fregarlos antes de tocarlos, no fuera que pidieran la baja laboral. Añádase la fuga de agua de la mampara, el papel higiénico de cortesía con souvenir incluido (menos mal que había un súper debajo), la tele de atrezo con Netflix en modo decorativo, la WiFi renqueante, el grifo de la minicocina en las últimas y, como guinda, la cama: muelles chirriantes como un violín desafinado y un somier que se desmoronaba como castillo de naipes. La mesita improvisada con una caja de vino le daba ese aire vintage que roza lo delictivo.
Si piensan ir a Oporto, eviten este antro. Hay alternativas mucho más dignas: desde una pocilga honesta hasta un cartón bajo el puente de Don Luis I. No se dejen atrapar por el timo del aparcamiento ni por la estafa de la limpieza. Oporto merece otra cosa; este sitio, como mucho, una...
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