La chiesa di San Ferdinando di Ternes è un luogo di culto cattolico di Parigi, situato nel quartiere di Ternes, nel XVII arrondissement. Venne costruito nel XX secolo in sostituzione di una chiesa più antica, divenuta insufficiente per le esigenze della comunità. Tra il 1842 e il 1847 venne costruita una chiesa cattolica in località Ternes, a nord-est della città di Parigi (solo nel 1860 diventerà un suo quartiere). Il luogo di culto venne dedicato a san Ferdinando III di Castiglia, in memoria del principe Ferdinando Filippo d'Orléans, figlio del re Luigi Filippo morto nel 1842; la consacrazione solenne avvenne il giorno 25 marzo 1847 da parte dell'arcivescovo di Parigi Denis-Auguste Affre. La chiesa, in stile neoromanico, presentava sulla facciata un basso campanile con copertura a cuspide; al suo interno, nel luglio dell'anno 1857, furono sistemate tre campane, chiamate Désirée, Fernande e Rosalie, che furono benedette dal cardinale arcivescovo di Parigi François-Nicholas-Madeleine Morlot. Presto la chiesa si rivelò troppo piccola per le esigenze della comunità, in continua espansione. Dopo la presentazione di vari progetti per una nuova chiesa, venne demolita nel 1937 e, il 31 ottobre dello stesso anno, cominciarono i lavori di costruzione per la nuova chiesa. Il 12 gennaio 1941 Emmanuel Célestin Suhard benedisse la cripta, consacrandola a santa Teresa di Lisieux. La chiesa, però, venne completata soltanto venti anni dopo l'inizio della costruzione, nel 1957; il 6 ottobre dello stesso anno venne consacrata da Maurice Feltin, arcivescovo di Parigi. Nel 1990 è stato realizzato il nuovo presbiterio e, tra il 2010 e il 2011, la chiesa è stata restaurata sia internamente, sia...
Read moreLa chapelle utilisée par les habitants du quartier étant devenue trop petite compte tenu de l'accroissement de la population, la commune de Neuilly[Note 1] achète un terrain à la famille d'Armaillé[Note 2] qui y avait construit un « manoir » au xviiie siècle[1]. L'église se trouve entre les rues Saint-Ferdinand et Armaillé, légèrement en retrait de l'avenue des Ternes[2]. Le plan de la nouvelle église est confié à l'architecte protestant, Paul-Eugène Lequeux (1806-1873), auteur des plans d'agrandissement à partir de 1839 de l'église Sainte-Marie des Batignolles et de l’ancienne mairie des Batignolles en 1847-1849, aujourd'hui démolie. L'église, construite entre 1842 et 1847, est nommée « Saint-Ferdinand » en souvenir du prénom du prince royal Ferdinand-Philippe d'Orléans, fils aîné du roi Louis-Philippe, qui mourut accidentellement le 13 juillet 1842, près de la porte Maillot, toute proche[Note 3] et dont le saint patron était saint Ferdinand III de Castille (1199-1252) qui fut roi de Castille de 1217 à 1230, et roi de Castille et de León de 1230 à 1252. L’église est bénie le 25 mars 1847 par Mgr Denys Affre, archevêque de Paris. Mais elle se révèle rapidement trop petite[3]. Dès 1849, le manoir de la famille d'Armaillé est détruit, sur son emplacement des rues sont tracées, puis le 15 octobre 1856 la municipalité de Neuilly, pour agrandir l’église, achète à la famille d'Armaillé, un grand terrain situé aux Ternes « ayant une contenance superficielle de 2 249 m2, moyennant un prix principal de 53 000 F. »[4]. L'église — agrandie — est alors de nouveau bénie et inaugurée en 1878 par le cardinal Joseph Hippolyte Guibert, archevêque de...
Read moreGrande église déroutante par son architecture aussi bien intérieure qu'extérieure, sans doute, en raison de son style néo-byzantin, avec une nef surmontée de trois coupoles... L'église, construite entre 1842 et 1847, est nommée « Saint-Ferdinand » en souvenir du prénom du prince royal Ferdinand-Philippe d'Orléans, fils aîné du roi Louis-Philippe, qui mourut accidentellement le 13 juillet 1842, près de la porte Maillot.... L'intérieur est très sombre car les ouvertures sont petites pour cette très grande superficie et hauteur de voûtes...! De très belles peintures et fresques religieuses garnissent heureusement ces grands espaces muraux égayant un peu l'atmosphère sombre du lieu! L'extérieur ne ressemble en rien à la majorité des églises construites en France! Tout cela n'empêche nullement la ferveur et le recueillement religieux pour ceux qui...
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