Cet hôtel était la seconde étape d’un voyage catastrophique, probablement le pire de ma vie, en Grèce continentale et sur ses îles, organisé par l’agence Marco Vasco. Avant de me fournir un devis, on m’a bien expliqué à l’agence que chaque destination était gérée par des personnes natives de celle-ci ou y ayant vécu, dotées d’une parfaite expérience et connaissance. J’ai appris par la suite que la Grèce à été commercialisée en urgence, et au dernier moment, pour compenser la perte de revenus suite à la fermeture des destinations plus lointaine pendant le Covid, et pour lesquelles Marco Vasco se targue d’avoir vraiment une plus value. Nous avons donc été envoyés en cobayes en Grèce, en plein Covid. Marco Vasco nous a arnaqués en prétendant connaître cette destination, ce qui n’était pas le cas. Aucune vérification n’a été faite en amont auprès des hôtels et tous étaient lamentables. J’ai mis du temps à accepter d’écrire ces avis, tant ces moments sont désagréables à revivre, que parce que j’ai honte d’avoir séjourné dans de tels bouges. J’espère toutefois que ce retour d’expérience aidera des voyageurs à éviter de faire les mêmes erreurs que moi. ||||Voici donc mon expérience à l’hôtel Epic Blue. Dès l’arrivée, nous avons ressenti un malaise de la part du chauffeur venu nous récupérer au port. Celui-ci nous a expliqué qu’il allait plutôt nous déposer dans un autre hôtel qui est à côté de celui dans lequel nous devions nous rendre, et appartient au même propriétaire, car le nôtre n’est pas encore ouvert à la clientèle. Après avoir demandé confirmation à la réception, il nous a déposés à l’hôtel San Marco, établissement vétuste et n’ayant rien à voir avec l’Epic Blue, sélectionné par l’agence de voyage, et payé au plein tarif. Je demande à la réceptionniste ce qui se passe, et pourquoi nous ne sommes pas à l’Epic Blue. Très gênée, elle botte en touche, me répond « don’t worry » et nous propose d’aller prendre le petit déjeuner. Elle nous accompagne et je lui pose de nouveau la question, elle semble énervée par mon insistance et d’après ses explications, je comprends que les parties communes de l’hôtel ne sont pas encore prêtes, qu’elles ouvriront peut être la semaine prochaine (j’ai appris par la suite que l’ouverture était prévue pour bien plus tard). Durant tout le séjour, nous remarquerons ce malaise de manière très palpable quand les clients arrivant à l’hôtel apprenent que celui pour lequel ils ont réservé, et payé, n’est pas ouvert. En remontant du petit déjeuner, nous constatons avec effroi que nos bagages ont été laissés en plein milieu de la réception, et du passage, et sans aucune surveillance, alors que nous avions expressément demandé à ce qu’ils soient stockés en bagagerie, et qu’un sac soit mis au coffre (il contient des montres de prix). Nous soulignons le problème et demandons à rejoindre la piscine. On nous indique que celle de notre hôtel n’est pas ouverte, comme tout le reste, mais que nous pouvons utiliser celle du San Marco, où nous nous rendons dépités… Celle-ci est vétuste, sale et bruyante. Après une heure, je retourne à la réception, je vois au passage que les bagages sont toujours laissés à la portée de tous, excédé, je demande des explications. Finalement, on nous emmène à la chambre en buggy, on nous explique qu’il faudra appeler la réception à chaque fois que nous souhaiterons quitter la chambre, nous rendre à la piscine, au restaurant, au bar ou à la réception pour que le buggy vienne nous chercher. Face à mon mécontentement, et après de nombreuses explications, on nous apprend que la piscine de l’Epic Blue est en fait ouverte, comme par magie et que nous y serons escortés après avoir été dans notre chambre. Celle-ci sent encore la peinture et le plâtre, et n'est absolument pas prête à recevoir des clients, avec des tas de poussières autour des tables de chevet, des repères dessinés sur les murs au crayon de papier pour pendre des crochets à serviettes. La plupart des autres chambres sont également en travaux, on remarque régulièrement des ouvriers, avec les bruits, la poussière et tout ce que cela implique. Nous découvrirons plus tard que la douche fuit, et que la chambre est inondée à chaque fois que nous l’utilisons, et que les lumières de la salle de bain clignotent sans cesse. Je pense que nous sommes les premiers à y séjourner et qu’aucun feedback n’a été formulé. L’agencement n’est pas au point non plus, nous demandons une table et des fauteuils sur le balcon pour le petit déjeuner que nous ferons servir en chambre vu la distance et le temps requis pour rejoindre le restaurant de l'autre hôtel, vu que le nôtre est fermé. Nous avons du faire cette demande à trois reprises pour qu’elle soit exaucée. En faisant un tour, nous découvrons ce qui nous avions hélas compris : la réception et l’ensemble des parties communes sont fermées et non accessibles au public. Tout se passe au San Marco, donc dans un hôtel bas de gamme et vieillissant, d’un standing bien inférieur, accessible uniquement en buggy et sur appel, doté d’un personnel qui doit jongler entre la clientèle de son hôtel, et celle, assez mécontente, d’un hôtel censé être ce qui se fait de mieux, pour lequel elle a payé et dont elle ne bénéficie pas. La piscine n’est pas ouverte non plus, conformément à ce qui nous avait été annoncés au début. Les matelas sont encore sous blisters, que nous devons retirer. Nous devons les retirer et appeler la réception du San Marco à 3 reprises pour obtenir des draps de bain. Le pool bar qui n’a jamais servi, et est flambant neuf et désespérément fermé, sans serveurs, sans boissons, et sans téléphone pour commander des rafraîchissements. A côté, se trouve ce qui sera un jour la réception de l’Epic Blue, toujours en chantier, avec des meubles encore dans leur emballage d’origine. Après de nombreuses demandes, et presque une heure, toujours pas de serviettes. Je rappelle, et commence à hausser le ton. Un petit chef de la réception, dénommé Georges, arrive et commence lui aussi à hausser le ton. Il nous explique que la piscine est fermée, qu’ils l’ouvrent juste pour nous et qu’en cas de contrôle de la police, ils auraient des ennuis, et nous aussi, alors que je ferais mieux de m’estimer heureux et me taire. C’en est trop. J’ai tenté d’appeler le service de mon agence pour demander un relogement mais ils n’ont jamais daigné me rappeler, malgré mes relances, et ai du me résigner à rester dans cet hôtel qui ne correspondait en rien à ce qui m’a été vendu. Toujours au bord de la piscine, nous commandons à boire et découvrons que cela mobilisera systématiquement un serveur et un buggy pour le trajet, et donc un certain temps. Nous décidons donc de commander en plus grande quantité, histoire d’être tranquilles. Plus d’une fois, nous avons fait face à des incompréhensions : nous commandons du vin, des bouteilles d’eau, et un seau de glace pour ne manquer. 45 minutes plus tard, nous recevons uniquement le seau de glace (??!!) et devons attendre 20 minutes pour avoir les bouteilles d’eau et de vin après avoir ré expliqué cela, au bout desquelles nous devons également demander des verres, et un tire bouchon, 20 minutes de plus…. Puis le serveur se rend compte qu’il n’a pas de stylo pour nous faire signer la note. Encore 20 minutes. Voilà à quoi ont ressemblé mes vacances dans cet établissement. Des amateurs qui se découvrent hôteliers et jouent à la marchande dans un hôtel qui semble factice, mais avec de vrais clients qui ont payé. Les toilettes de la piscine sont également en chantier, l’électricité n’est pas encore installé, il n’y a ni savon ni papier toilette, et les chasses d’eau ne sont pas en route (certaines personnes avaient tenté d’utiliser les toilettes avec nous, je ne parlerai pas des odeurs…). Les murs à l’intérieur de la piscine et l’entourant avaient également une texture étrange : dès que nous posions la main ou le pied dessus, une pellicule blanche sur formait sur notre peau… ||Le soir, le directeur de l’hôtel qui a appris mon malaise m’appelle, et s’engage à ce que malgré la triste réalité, nous passions un bon séjour. J’en profite pour signaler de nouveau les problèmes de lumières qui clignotent (il me répond que c’est un problème de tension) et de douche qui fuit. Rien ne sera réglé. Je demande de nouveau la table et les fauteuils pour mon balcon. Au moins, sur cet aspect, le nécessaire a été fait. ||Le lendemain, un serveur peu aimable nous apporte le petit déjeuner et nous réclame des pourboires en nous faisant signer une note pour la livraison en chambre dont nous devons nous acquitter alors que nous n’avons pas d’autre choix, dans la mesure où le restaurant de notre hôtel est fermé. Nous retrouvons la piscine comme nous l’avons laissée… Nos verres, que nous avions emmenés sur le bar par correction sont toujours là, avec des insectes autour. Idem pour les serviettes de bain de la veille. Le service est toujours aussi long et catastrophique que la veille. En fin de journée, nous découvrons également que nos maillots de bain et certains des bijoux que nous portions ont jauni avec l’eau de la piscine… L’étrange pellicule blanche déposée par l’enduit de la piscine sur nos paumes de mains et pieds est également dure à partir. J’imagine que celle-ci n’était pas correctement traitée vu qu’elle n’était pas officiellement ouverte…||Les navettes que propose l’hôtel pour nous emmener au centre ville ont une fréquence ultra réduite, sous prétexte covid, servi à toutes les sauces pour justifier le fait que ce lieu soit une catastrophe. Elles sont en retard et rapidement complètes. Il faut donc attendre la suivante. Nous avons ainsi failli manquer notre réservation au restaurant le premier soir à cause de ce retard, et il a fallu que je négocie sur place pour que nous puissions diner. Fort de ce constat, le dernier jour, j’ai décidé de louer un quad pour pouvoir être plus autonome. Je me rends à la réception et demande à ce qu’il m’arrangent ça. Je précise que je souhaite le récupérer à l’hôtel et le déposer directement à l’hôtel, pour que le loueur vienne le récupérer plus tard. En effet, je rentrerai tard de la soirée, trop tard pour que le loueur soit ouvert, et je partirai très tôt le lendemain. De mémoire, nous avions le ferry pour Santorin avant 10 heures et devions quitter l’hôtel bien plus tôt. Ils contactent différents loueurs, et en trouvent un à un tarif avantageux, qui accepte que je laisse le quad à l’hôtel pour qu’ils viennent le récupérer. En revanche, ils souhaitent que je passe à leur bureau pour faire les papiers et m’envoient quelqu’un pour m’y emmener. Pour une fois, je suis satisfait du service de la réception du San Marco. Un peu plus tard, je vois quelqu’un arriver sur un scooter, sans casque, qui vient me chercher pour m’emmener au bureau, à une trentaine de minutes de trajet. Je fournis les papiers et les remercie pour m’avoir envoyé quelqu’un. Je leur dis que le quad sera déposé en fin de soirée à l’hôtel, et qu’ils pourront le récupérer quand ils le souhaitent le lendemain. La personne me dit que je dois le déposer à l’agence, contrairement à ce qui m’a été affirmé par l’hôtel. Je précise mes horaires de retour à l’hôtel le soir, et départ le lendemain, et nous constatons bien qu’ils sont incompatibles avec ceux d’ouverture et de fermeture de l’agence. J’appelle l’hôtel et leur demande de clarifier tout cela. La personne de l’agence me passe le téléphone après un bref échange. Le dénommé Georges me dit qu’il n’a jamais été question de cela, et que personne ne proposait cela sur toute l’ile. Je commence à perdre patience et lui dit textuellement ce qui m’a été rapporté par le réceptionniste qui a contacté l’agence de location. Il me dit que j’ai mal compris, me faisant passer pour un idiot, et me raccroche au nez. Furieux d’avoir encore perdu un après-midi de vacances, stressé, frustré, et excédé par leur incompétence, et leur manque de respect j’exige une solution, quand je retourne à l’hôtel (la personne étant venue me récupérer a consenti à me ramener). Quelques heures plus tard, le directeur en trouve une. Un quad beaucoup plus cher que celui qui m’avait été annoncé m’a finalement été déposé à l’hôtel, et il y sera récupéré. Quand je lui dis ce que Georges m’a dit quant au fait de laisser le quad sur le lieu de résidence, il m’a répondu que celui-ci disant n’importe quoi, et que cela s’est toujours fait ainsi, sauf pour quelques loueurs. Je lui ai rappelé que ce séjour a été une catastrophe en tous points. L’excuse du covid a bien évidemment de nouveau été mentionnée, avec des retards dans les livraisons et les travaux, mais je rétorque que je n’ai pas payé de tarif réduit pour le covid et les manquements contractuels. Il en est conscient et propose de me surclasser… à 18 heures, le dernier jour de mon étape dans cet établissement. Je ne me voyais pas remettre toutes nos affaires dans les bagages, les déménager de chambre, tout cela pour partir le lendemain… ||Au moment du départ, même impression. Nous sommes allés régler avant de prendre le petit déjeuner au restaurant du San Marco. Aucun geste n’est fait sur la facture des extras. Pendant que nous prenons le petit déjeuner, nous demandons à ce que, cette fois, les bagages, après être récupérés dans la chambres, soient gardés en bagagerie et non en plein milieu de la réception. Nous découvrirons à notre retour que pendant tout ce temps, ils nous ont attendu à l’extérieur, sur le perron de l’hôtel, en plein soleil et à la vue de tous. Des crèmes et produits de beauté hors de prix ont du être jetés à la poubelle car ils ont tourné au chaud… ||||Les problèmes de ménage et techniques dans la chambres ont été signalés à la réception, de même que ceux pour les maillots de bains et bijoux. J’ai envoyé des mails pour garder une trace, et vu que personne ne semblait comprendre, et que le dénommé Georges prenait un malin plaisir à me raccrocher au nez. Je n’ai jamais reçu de réponse. ||||Bien après mon retour, l’agence a contacté l’hôtel pour faire le point, ils se sont contentés de dire que la piscine du San Marco dispose d’un PH neutre, mais n’ont pas parlé de celle de l’Epic Blue, dans laquelle j’ai eu les problèmes. J’ai un message à l’agence quelques mois plus tard, et ai mis l’Epic Blue en copie. Le directeur m’a demandé de lui rappeler les événements, ce que j’ai fait en détail, il ne m’a jamais répondu. L’agence, quant à elle, a également refusé d’assumer ses responsabilités et de couvrir les préjudices matériels. ||||Voilà, j’ai passé ce séjour à Mykonos dans un hôtel qui n’était clairement pas terminé, et n’aurait jamais du être ouvert au public, suspendu au téléphone pour demander à l’agence de trouver des solutions, ou au personnel de l’hôtel d’apporter des serviettes, ou encore chez les loueurs de quad pour rien. J’ai perdu mon temps, et la sérénité n’était pas du tout au rendez-vous. En plus des graves manquements contractuels (absence de piscine ou de réception, etc, service médiocre), j’ai subi des préjudices matériels avec les maillots de bains, bijoux et montres endommagés par l’eau...
Read moreRobbed, humiliated, and threatened – this hotel must be avoided at all costs||This so-called “5-star” hotel is without question the worst place I have ever stayed. It is not just unsafe, it is dangerous, and I feel compelled to warn anyone considering it: DO NOT BOOK THIS HOTEL.||||From the moment we arrived, things felt off. At check-in, I was told I had to pay an extra tax - despite my booking confirmation clearly stating that no additional charges would be due on arrival. When I questioned it, I was brushed off with an excuse about a “new rule for 5* hotels in Greece.” It immediately felt dishonest, but we didn’t want to cause a scene at the beginning of our trip.||||The room itself was far from 5-star quality. There was no shower curtain, which meant that every time we showered, the bathroom - and even part of the bedroom - flooded. I complained, but nothing was done.||||The nightmare truly began on the night of August 24th. At around 8:30pm, I received a strange call from housekeeping asking when we would be leaving so the maids could come. It struck me as odd - why would housekeeping want access to our room late in the evening? But later, when we returned from our night out, our worst fears were confirmed: our room had been completely ransacked.||||Everything of value was gone - thousands and thousands of pounds worth of jewellery, designer bags, clothes, and shoes were stolen. Both the balcony and room doors had been locked when we left, yet someone had clearly gained access. Conveniently, there were no cameras, no security, and no accountability. Everything about it pointed to an inside job.||||What happened next was even more shocking than the robbery itself. When I reported the theft, the hotel manager treated me with unspeakable cruelty. He is genuinely the most disgusting man I have ever encountered. Instead of offering sympathy or help, he laughed at us, mocked us, and hurled vile insults. He called us liars, shouted at us, and even called us degrading names no guest should ever be subjected to. Imagine a grown man - a hotel manager - ridiculing and verbally abusing two young women who had just lost everything. It was humiliating and sickening.||||The female staff only added to our trauma. As we stood crying, devastated by what had happened, they stood there laughing at us, making us feel even more pathetic and helpless. We had to beg for the police to be called, as the manager refused to involve them. He blocked us from documenting the crime scene and made it clear that our suffering was a source of amusement rather than concern. To make matters worse, when I tried to warn other guests about what had happened to us, the manager and staff threatened me to stay quiet. Their only concern was silencing us, not helping us.||||The hotel has taken absolutely no responsibility. No apology, no refund, not even the slightest gesture of care. In fact, when we checked out, the manager had the audacity to demand more money for room service we never ordered.||This was not just a bad stay - it was a horrific experience that has left me shaken. This hotel will not only rob you of your belongings, but of your dignity, your safety, and your peace of mind.||For your own safety, NEVER STAY HERE. This place is a scam, run by abusive staff and a vile manager who should not be in hospitality. They will take everything from you, and then laugh in your face...
Read moreIf you have luxury within luxury, this is it.|I think anyone would find this hard to beat.||After a misunderstanding, we were ably helped by Harry that I think made this the best experience of our island hop. Thank you, Harry, it's not every day you get professional exclusive attention from senior management.||From the amazing courtesy transport guy from Albania and was great fun, to Katia and Natalia amongst their teams, you can appreciate the staff go over and above to help make your stay incredible.||What can you say when you wake every morning with a stunning view from our Executive Suite?|Not just what was lying next to me, but the beauty of blue Aegean sea and plush blue skies, this is no trading standards issue, Epic Blue is about right.||Check in and out simple.|They operate a courtesy bus into Town running regularly during the day and night. Just hop on, tell the driver if you would like to hop off anywhere or the stop is by Police Station in a lay by which acts as a bus drop off point.||Rooms were amazing.|Air con fine, showering facilities excellent, plenty of room, a terrace and private pool. |Bed comfy, many power points.|Very clean, immaculate.|Quiet and secluded, you can get room service or there's a public pool next to where we take breakfast.|Some evening meals to watch sunset is incredible.||Very serene.|Very humbling.|I struggle to find any criticism.||One thing:|This is difficult for hard of walking or disabled.|Courtesy pick ups and drop offs are great and mitigate this, but the whole complex, including the sister hotel is very steep.||What makes this luxury resort special is it's staff.|Incredibly hard working yet always had time for a smile and talk. ||Thank you for a fabulous time, a definite best in...
Read more