This review is not about Restaurant Hamadi's food or atmosphere (although both looked phenomenal), but rather about the generosity and welcoming spirit of the restaurant's owner and his daughter, Hama, who extended unparalleled kindness to my friend and I on New Years Eve, 2017.
To make a long saga short, we (two American women with one year of college French between us) ended up getting extremely lost - without phones or the address of our Air B and B - in the dark and very intimidating (even for a hardened New Yorker who is familiar with being harassed) streets/alleys of Tangiers. We had absolutely no idea where we were and no way to contact our friends.
We were lucky enough to stumble upon the beautiful Restaurant Hamadi, which was in the midst of hosting a festive and busy New Year's Eve celebration. The owner and his daughter basically stopped everything to lend us their phone(s) and help us figure out the Moroccan platforms for Facebook, Gmail, What's App, to connect with our friends.
We were there for almost an hour trying different outreach tactics, with the owner giving us the restaurant's phone number for our friends to call to connect with us. They couldn't have been more forthcoming, lovely and generous - again, on what must have been one of their busiest nights of the year.
When, finally, we landed on a plan to walk to a landmark where we thought we could find our way back to the Air B and B, the owner designated one of his waiters to leave his shift to accompany us, to ensure that (a) we would be safe and (b) we wouldn't get lost again. Our offer to give the money that we had on us to the owner/his daughter to thank them was firmly declined.
My friend and I (and the rest of our friends who assumed the worst during our absence) will be forever grateful to the fine folks at Restaurant Hamadi, and we encourage everyone traveling to Tangiers to check out their...
Read moreIl est des expériences qui ne s’effacent point, des instants suspendus dans l’écrin du souvenir, qui transcendent le simple acte de se nourrir pour devenir de véritables révélations sensorielles. C’est précisément ce que nous avons eu le rare privilège de vivre en franchissant les portes du prestigieux et singulièrement envoûtant restaurant Hamadi, situé dans le cœur vibrant et profondément historique de Tanger, perle du nord du Maroc. À peine avions-nous mis pied dans cet établissement que nous fûmes saisis par l’atmosphère délicieusement immersive qui y règne. Le lieu, somptueusement orné de mosaïques traditionnelles, de bois sculpté avec un soin d’orfèvre, de tissus somptueux aux motifs arabo-andalous, et baigné dans une lumière tamisée filtrée par de délicates lanternes artisanales, nous plongeait déjà dans une ambiance digne des contes orientaux les plus raffinés. C’est un univers tout entier, aux antipodes de la banalité moderne, qui s’offrait à nous : un sanctuaire de culture, d’authenticité, de chaleur humaine et de raffinement. Mais ce n’était là que la mise en bouche, le prélude d’un voyage sensoriel dont nous n’avions pas encore mesuré l’ampleur. Car dès que les mets commencèrent à se succéder sur notre table, telle une procession sacrée, nous comprîmes que nous n’étions pas simplement venus dîner : nous allions communier avec l’âme de la cuisine marocaine, dans ce qu’elle a de plus noble, de plus généreux, de plus profondément enraciné dans le génie populaire. Le tajine, véritable chef-d’œuvre culinaire, se présenta à nous tel un écrin de terre cuite libérant de suaves effluves d’épices — cumin, cannelle, safran — mêlés à la douceur des légumes confits et à la tendresse de la viande longuement mijotée. Chaque bouchée était une ode à la patience, une célébration du temps qui passe et bonifie les choses. Ce plat, emblématique de la table marocaine, fut ici élevé au rang d’art sacré. Le couscous, quant à lui, se révéla d’une finesse inouïe. Les grains, légers, aérés, semblaient avoir été roulés avec la plus grande délicatesse, tandis que les légumes — carottes, courgettes, navets — fondaient en bouche avec une tendreté qui ne pouvait être le fruit que d’un savoir-faire ancestral transmis avec amour. Le bouillon, équilibré, enveloppant, portait en lui l’écho de générations de cuisiniers dévoués. Et puis vint la pastilla, ce mets paradoxal, ce miracle gustatif qui marie avec hardiesse et harmonie le sucré et le salé, le croustillant et le fondant, le réconfort et la surprise. Croustillante à souhait à l’extérieur, enveloppée de sucre glace et de cannelle, elle renfermait une farce généreuse et parfumée à base de poulet effiloché, d’amandes concassées et d’un mélange subtil d’aromates. Ce n’était plus un plat, c’était un poème en feuille de brick, un hommage au génie marocain, capable de sublimer l’inattendu. Mais il serait bien injuste de réduire cette expérience aux seuls mets, si somptueux fussent-ils. Car ce qui confère au restaurant Hamadi sa dimension véritablement inoubliable, c’est l’hospitalité exquise dont nous fûmes les heureux bénéficiaires. Le personnel, dont la bienveillance n’avait d’égale que la prévenance, fit preuve d’une courtoisie rare, sans jamais sombrer dans l’affectation. Chaque geste, chaque regard, chaque mot semblait animé d’une sincérité touchante, d’un souci du détail presque...
Read moreOur guide took us here for lunch. He told us the owner is Moroccan and the food is authentic. The restaurant is located on the 2nd floor up a flight of stairs, there's no elevator. We had an early lunch and the only other customers were other tourists. Despite this, I really enjoyed the decor, atmosphere, and the musicians.
I ordered the chicken tajine with bitter lemon and my husband ordered the chicken couscous. We also got a small bowl of olives and a basket of bread. This may be one of the few restaurants in the medina where you can order alcohol. I really enjoyed the flavors of the tajine. My husband would have preferred white meat chicken off the bone instead of the dark meat on the bone that he got. Our server was very patient (while we tried to decide what to order) and attentive.
The tajine was MAD 950, couscous was either MAD 1000 or 1200. Beer was MAD 50 and coffee (Expresso...
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