Their specialty is grilled eel or unagi. They are included in Michelin guide. We didn't make a reservation bec it was a spur of the moment decision after taking a day tour and searching online for a Japanese place to eat at within St. Honore. After shopping, we reach the place at exactly 7pm, a couple was ahead of us, who also didn't have any reservation. There were 3 personnel that we saw when we were dining there, the male host who speaks both English and Japanese (after a Japanese family sat near our table and they converse with the host in Nihongo), and 2 Asian women (though our order was taken by the younger one who speaks in English). We obviously ordered the unagi, we opted for the set menu since you get a lot of extra for just a few more €. My sis ordered the Yamabuki Menu & I chose the Sakura Menu, we opted for 2 Sencha (Japanese Green Tea). Unadon 130g is priced at 22€, if you choose Yamabuki, you get the same grams of Unagi, but with chawanmushi and green salad for just 26€. Unadon 200g is priced at 30€, if you choose Sakura, you get the same grams of unagi, but with dashimaki (japanese omelette), wakame salad with poached eel, & suimono (consomme) for just 35€. You may also choose the Ran Menu which has Unadon 200g as well but with fried eggplant w/ miso, sweet & sour turnip, eel cooked in thick soy sauce, & miso soup. Upon serving, they will put a sweet sauce and lemongrass spice beside you. You may choose to put some of these to the eel, depending on your preference. We find their unagi fresh, their sauce lightly sweet and not too thick. You will surely enjoy every bite. I like the entire Sakura accompaniment as well. The gari (pink ginger) was refreshingly light and clearly does cleanse the palette without leaving the too strong gingery and dry taste one usually find elsewhere. The wakame had just the right hint of wasabi. The green tea was a nice drink to have so that one can still perspire even a little fromthe Paris wind. We were given a pot with 2 tea cups for us to enjoy. There is no wait here if you come in early, since they serve the food really fast. The place is a bit cramp though, but one can bear from that just to eat their...
Read moreNodaiwa is a famous eel specialist in Japan, and has created a Parisian branch that is the only restaurant in France to offer this meltingly soft Eastern delicacy. Centrally positioned in the chic rue Saint-Honoré, it has succeeded in reconciling the French with this strange fish, traditionally not one of their favorites. The price, although higher than in the ubiquitous sushi-yakitori Chinese-run Japanese restaurant, is well worth it. The unadon menu (grilled eel with sauce, served in a bowl of rice) is a particularly good option, and you can choose your dish according to your budget and appetite. In Japan, eel is generally prepared following a complex recipe: first grilled, then steamed, covered with a special sauce and grilled again. At Nodaiwa, several menus are offered, with different quantities of eel, convenient for the smaller or bigger appetites. The fish can be served with or without rice, and with/without sauce. During winter, eel served in a hot light stock is a delicious way to confront the cold. The décor expresses classic Japanese elegance, the atmosphere so quiet that you will find yourself instinctively lowering your voice. The service is discreet, smiling and efficient. While most of Nodaiwa’s menu features eel dishes, there is also a selection of sashimi and other traditional Japanese plates, and the dishes are served with miso soup. For dessert, a large array of Japanese flavored delicacies is available. The choice, between traditional pastries, black sesame or yuzu ice cream, or kuzu jelly, is...
Read moreNodaïwa, restaurant japonais de luxe spécialisé dans l’anguille, se situe dans le quartier Pyramides à Paris. Vous le trouverez au 272 de la rue Saint Honoré.
La salle est décorée de manière élégante et harmonieuse. Les tables sont petites mais l’espace y est très bien occupé, tout est pensé pour ne pas se sentir confiné. Néanmoins, pensez à réserver, vu que c’est cher et petit, le touriste lambda ne s’y arrêtera pas ; mais le connaisseur sait la merveille derrière la porte de ce temple de la gastronomie nippone et se doit de pouvoir organiser son rituel pour la paix de son âme (pour peu qu’elle réside dans le « hara »…) ! Le personnel de salle, un maître d’hôtel et des serveuses, sont tous trilingues français-anglais-japonais.
Le récit qui suit s’appuie sur mon repas effectué le samedi 24 septembre 2022, le midi.
Comme vous le verrez en photo, j’ai commandé un umeshu, sans doute le meilleur que j’ai pu goûté ; ainsi qu’un verre de saké nigiri. Je ne suis pas trop connaisseur de ce type de saké, je l’ai pris parce qu’en bouteille il était le moins cher. Je l’ai trouvé un peu trop « laiteux ». J’ai pu finir mon verre, évidemment, mais l’alcool commençait à me monter à la tête en fin de repas ; je ne sais pas à combien il titrait. Si vous ne tenez pas l’alcool, pensez à demander les sakés les moins forts !
Ensuite, voilà qu’arrivent mes merveilleux, magnifiques, que dis-je sublimes morceaux d’anguille fumée. Comme je disais à mon accompagnateur, l’anguille fumée se rapproche du hareng fumé en pomme à l’huile ; c’est bien gras comme on aime, mais à la différence ici qu’il n’y a pas de sensation d’écœurement, la quantité est tout à fait juste, ni trop peu, ni trop. Je valide. Puis ce fut le tour du shirayaki. Un met subtil de connaisseur. Avant, j’allais à Nodaiwa manger des gros Unaju (anguille grillée en sauce sur du riz dans une boite laquée) à 50€. Eh bien je vous le dit, l’entrée consistant en un filet d’anguille grillée SANS SAUCE est divine. L’ajout de sel rose en petite quantité fait ressortir l’intensité de l’anguille. Petit détail pratico-pratique : si vous êtes fragile et que vous pouvez vous permettre de manger en 90 minutes, OK, mais si vous êtes non pas pressé mais que vous voulez enchaîner les plats, pour rester dans une certaine harmonie et ne pas laisser vos camarades de tablée vous attendre, pensez à demander une fourchette (« magique », en cela qu’elle permet qu’en une dizaine de coups vous aurez fini votre entrée).
Mon chirashi arrive. À Nodaïwa il n’y a qu’un chirashi, anguille évidemment. Il est agrémenté de gingembre bien ciselé, d’omelette, de poids gourmands et d’algue. La quantité pour le coup est assez importante, c’est un bon plat d’hiver. Pareil, si vous ne savez pas manger à la baguette, sans fourchette, vous allez galérer ; prenez l’habitude que si on parle français dans votre restaurant, la fourchette est autorisée, point. Bien sûr ça ne vous empêche pas d’apprendre à finir un plat de riz avec des baguettes sans passer pour un nul à utiliser la méthode Sangoku de Dragon Ball Z, consistant à ramener le bol à la bouche et à pousser le riz avec les baguettes. Je ne sais pas si c’est ainsi qu’il faut faire, mais en privé je fais comme tel.
Mon dessert est une crème caramel au sésame noir. C’est très enfantin, mais ça fait du bien de revenir en enfance un instant, se rappeler les moments de goûters en famille. Pour comparaison, niveau goût, texture, on est au même niveau qu’une brioche de pain perdu ; il y a du caramel et du sucre, tout en sentant le goût plus adulte du sésame noir qui vient nous rappeler quant à lui qu’on est capable de boire du café sans sucre. C’est une belle expérience, une osmose tout en contraste qui vient clore un repas fort agréable.
La douloureuse : 116€ à deux, 77€ rien que pour votre fidèle rédacteur-chroniqueur.
C’est avec le goût d’un bon repas copieux et de pleins de souvenirs gustatifs et sociologiques que je ressors de Nodaïwa qui demeurant le meilleur restaurant japonais à ma connaissance s’assure la place de champion...
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