Un japonais comme bien d'autres qui parsèment nos rues, tendance pas trop mauvais, au point que nous y avions quelques habitudes. Tout au plus, pourrait-on chicaner, avec l'esprit sarcastique d'un pilier de comptoir option littéraire, que s'appeler "Washoku" n'est pas particulièrement heureux et qu'aucun français n'a jamais eu l'idée saugrenue d'aller ouvrir une brasserie à Tokyo du nom de "Lavtéfess". Lao-Tseu et Molière auraient pu avoir la bonne idée de partager la même époque pour accorder leur sémantique. D'autant qu'il existait une autre appellation moins laborieuse et plus à propos : indignoku. En effet, ces charmants restaurateurs ont cru de bon ton de monnayer 200 euros - il n'y a pas de virgule cachée ou oubliée - l'accès à leurs toilettes pour les non consommateurs. J'admets aisément que voir défiler sans cesse des manants qui n'ont d'autre velléité que d'aller remplir vos toilettes sans passer par votre tiroir-caisse est du genre agaçant. Tout en m'interrogeant sur la fréquence réelle de ce dérangement. L'air dubitatif, vous seriez prêt à penser que ce n'est qu'une vague tentative de dissuasion sortie d'un esprit pas plus finaud que créatif ? Perdu. Tranche de vie croisée récemment : un touriste américain en fauteuil est entré et a demandé s'il pouvait utiliser les toilettes. Le plus sérieusement du monde, on lui a dit que c'était 200 euros. Heureusement, ni lui ni ceux qui l'accompagnaient n'ont vraiment compris que le pipi coutait ici plus cher que le trajet en taxi-escroc depuis l'aéroport. Ils ont heureusement compris tant bien que mal que les toilettes, malgré ce droit d'accès profondément débile, n'avaient pas le luxe d'être accessibles aux PMR. L'honneur a ainsi été sauf. Pas l'indignité. Ajoutons de manière anecdotique que le moindre ajustement dans le menu, quasiment toujours gracieux chez les confrères, est ici facturé 50 centimes par menu. Ce n'est certes pas grand-chose, juste un rapport à l'argent et au sens des affaires visiblement un peu contrarié. Dont acte, il y a plein d'ailleurs bien plus...
Read moreIl y a-t-il quelque chose de frais qui sort de ce restaurant ?
Repas reçu en livraison, première livraison du jour possible (12h45 sur Juste Eat) les tempuras étaient réchauffés ?!
Non mais sérieux, ils étaient tous mous, moins bons que ceux d'un supermarché qu'on met au four.
Je ne vous parle pas des brochettes de viande qui sortaient tout droit du congélo.
A éviter
EDIT : le responsable m'a appelé rapidement après le post de mon avis pour m'expliquer que tout était frais mais que les produits que j'avais commandé n'étaient pas idéaux dans le cadre d'une livraison. Le responsable m'a aussi offert le prochain repas pour s'excuser.
Je continue donc de déconseiller la livraison sur des produits comme le tempura ou certains yakitoris mais je ne peux que mettre en lumière la réactivité et le sens des responsabilités qui émanent de la direction de ce restaurant.
Je change donc mon classement de 1...
Read moreAu vu de mon expérience 'en réel', je ne ferais pas confiance aux avis... Makis de très moyenne qualité, petits et chiches en poisson, les california faits avec du surimi... plutôt cher pour ce qui est servi et pour ce genre de restaurant chinois-'japonais'. Le pire étant pour moi le service en carafe d'un vin de type 'villageoise' (rosé), certes apparaissant 'peu cher' à la carte (mais en fait, si, quand on voit le type de vin que c'est et à combien il revient au commerçant...) et qui n'est pas loin de vous rendre aveugle, après dégustation. La salle est de plus petite et assez déprimante. Enfin, l'addition demandée et qui est délivrée en fin de repas est de type 'document provisoire' (cf. photo) et donc relève potentiellement d'une...
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