This is a museum where Georges Clemenceau, the French Prime Minister during World War I, lived in an actual apartment from 1896 to his death. On the first floor there are records about him (newspapers, paintings, letters etc), and on the ground floor you can see the dining room, bedroom, bureau and garden.
He is known for his distinctive mustaches and photographs of tigers and Clemenceau's words below the museum paintings stand out.
(You have to know what you want. When you know it, you have to have the courage to say it. And when we say, you have to have the courage to do it.)
It is not large, so it takes about 20 minutes to look around, and it is recommended to check the website in advance as the museum is often closed depending on...
Read moreSmall museum but no crowds at all. You start the visit with second floor, which is very much text and photo based. Then you go to first floor which is where Clemenceau used to live, and I think this is the interesting part of the museum. It is a very subjective museum though, it doesn't portray Clemenceau with both his positives and negatives but pretty much only positives. This must be because the museum is found and run by the...
Read moreTrès agréable et intéressante découverte du musée Clémenceau ! Voici un lieu historique parisien méconnu mais qui mérite de l'être. C'est ici que Georges Clemenceau a vécu de 1896 à sa mort le 24 novembre 1929, et depuis cette date rien n'a bougé ! Ce qui fait le charme de ce musée. Au rez de chaussée, son (petit) appartement de quatre pièces avec jardin attenant (incroyable de penser qu'à l'époque ce membre de la moyenne bourgeoisie avait tout de même à son service un valet de chambre, une cuisinière et un chauffeur). Et au premier étage une exposition permanente retrace avec clarté les étapes clés de la vie du Tigre dans le style "sa vie, son oeuvre" notamment ses carrières de journaliste, d'homme politique, de collectionneur (grand intérêt pour le Japon et la Grèce antique), d'artiste et d'écrivain. Un peu hagiographique en passant sous silence ses zones d'ombre (affaire Panama, briseur de grèves dans la violence et répression des luttes sociales, brouilles avec Jules Ferry, Gambetta ou Jaurès, incarcération de sa femme pour adultère puis expulsion comme étrangère condamnée pour délit de droit commun vers les États-Unis, avec un billet de troisième classe, et obtention pour qu'elle perde la garde de ses enfants et la nationalité française...) mais c'est la loi du genre dans ce...
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