C-TEAM 😢 Clearly Prost brings their trainees and newest employees to the Sunday crew. Why even be open if you can’t pull off adequate service and quality food? The Berry Colada was beautifully presented, but the large rose bourbon cube occupied most of the only half-full lowball glass. I took one SMALL sip and it was half gone. Let’s be real… 2 small sips is not even the 1-oz shot of rum that should have been in it.
We ordered warm potato salad. I watched the line cook trainee being instructed on plating the potato salad, but no one ensured that he actually WARMED it – and I mean stone cold!
The hostess came to take our menus from us (as if they only had a few and we were occupying them too long) so we rushed to order our entrees. I finally asked about the Bretzel we had ordered to arrive with the potato salad, and the server said “oh, I forgot” and grabbed the cold pretzel out of a bin at the window. I had to ask to rewarm it because she failed to offer. It was like the boxed soft pretzels you buy in the frozen section of the grocery store. Nothing special, just a cheap plain pretzel.
Now comes to the main course, the spinach and ricotta cannelloni that was burned to a crisp, then buried under a thick layer of mozzarella (not mentioned in the description). It was okay.
We asked the guy who cleared our dishes to please bring us a dessert menu. We waited and waited for that dessert menu and finally gave up. When we found our server again – who reappeared only when another table was seated next to us – I asked for the check. That’s when she queried whether we had ordered our mains. What!?
I couldn’t pay that check fast enough. Beyond disappointing, just plain a waste of...
Read morePublié sur Instagram (ericpaname)
À Paris, le boulevard Beaumarchais, achevé en 1705 sur l’emplacement de l’ancienne digue de l’enceinte de Charles V, court de la place de la Bastille à la rue du Pont-aux-Choux. À son extrémité sud, au numéro 3, fut créé au XIXe siècle le fameux restaurant « Aux quatre sergents de la Rochelle », présent dans l’œuvre de Jules Romains et dans celle de Georges Simenon, qui survécut jusque dans les années 1970. Un établissement de la chaîne « Léon de Bruxelles » (aujourd’hui « Léon ») lui succéda pour être lui-même remplacé en 2022 par le charmant restaurant fusion franco-allemand Prost (= Santé ! en allemand).
Une carte variée à des prix très raisonnables mêlant classiques allemands (flammekueche, saucisses purée, choucroute, spätzles) et français parfois revisités (bourguignon, homard rôti, parmentier de canard) et une carte des boissons où les bières sont omniprésentes mais les vins allemands absents, c’est dommage. Chaque entrée et chaque plat est complété d’une suggestion d’accompagnement : vin (français) ou bière, c’est une excellente idée ! Une salle bruyante et animée au rez-de-chaussée, une autre plus cosy au premier étage, agrémentée de plusieurs alcôves romantiques et d’un espace privatisable en mode speakeasy, astucieusement dissimulé derrière une façade de bouteilles escamotable.
Mon « Kaiser’s crush » (littéralement, « béguin de l’Empereur ») m’est servi dans un verre old fashioned en forme de tête de mort. Le mélange rhum Kraken (Trinité-et-Tobago), jus d’orange frais, kirsch et cerise au marasquin ne me saoulera pas mais reste agréable.
Six jolis couteaux aillés et al dente me transportent bien loin de la Mannschaft que je vois apparaître sur l’écran géant accroché en salle. Ils sont très corrects mais manquent un peu, à mon goût, de gras sous forme de persillade beurrée (les couteaux, pas les joueurs).
Pour accompagner ce dîner, point de bière car je n’en bois jamais, mais un gourmand saint-nicolas-de-bourgueil Les Échaillons 2022, simple mais très fruité et révélant des arômes épicés après quelques minutes d’oxygénation. Il s’accorde à ravir avec mon confit d’agneau, purée de céleri rave et pomme de terre à l’ail. Savoureux mais, une fois encore, un peu sec et semblant provenir d’une cuisson sous vide, contre laquelle je n’ai rien mais qui aurait peut-être gagné à être relevé d’un jus de rôti ou d’un fond brun de veau maison.
Ne sachant trancher entre la profiterole glace vanille, chantilly sauce chocolat chaud et le savarin au rhum, chantilly aux fruits exotiques, je commande les deux (oui, je sais, c’est mal…). De belle facture, ces deux desserts sont élégamment réalisés et viennent conclure cet épatant dîner dans un cadre fort plaisant à proximité immédiate d’un quartier que j’adore, pour une addition d’environ 57 € (avec un...
Read moreThis restaurant is right next to Exit 8 of Bastille metro station ✨. I came across it by chance, wanting to try a Franco-German buffet, and it turned out to be surprisingly delicious.
In photo 5, the cheese bread 🥐🧀 next to the croissant was absolutely mind-blowing — it felt like stepping into the heavenly world of Cooking Master Boy!
Photos 1 and 2 show the main dishes: salmon with a fried egg 🍳 (you can choose how the egg is cooked, as shown in photos 11 and 12).
Photos 4, 5, 6, and 7 are from the buffet area, with sausages, chicken, bread, and more. I highly recommend trying the cheese bread — it’s just too good 😍.
For drinks, they offer coffee, milk, hot chocolate, fresh orange juice, lemonade, and apple juice. The staff were super friendly 👍.
Finally, when we were leaving, we discovered in photo 13 a hidden door 🚪 (photo 14 is proof). Apparently, it’s reserved for VIP guests when the place...
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