I stayed there for 2 nights. The hostel is on the other side of the lake, which makes it very difficult to enter the hostel. You are very dependent on the small boat, that the hostel has to reach the location. So, whenever you want to go to flores, you need to wait for somebody to give you a ride. Whenever you are in flores and want to go to the hostel, you need to find a place with wifi or to call the owner in order for them to send the boat. This is some kind of a pain and gives you no flexibility at all. You can also reach the the hostel by public boat, which will cost you everytime 5 quetzales. The staff was friendly but they seem to not be able to manage a hostel. When I arrived they told me that there was some kind of issue with the booking platform and that the hostel was overbooked. After a long time they found a way to arrange it anyway. Furthermore, I had loads of problems with the staff as they are not really taking it seriously in my opinion. Customer-relationship is horrible. One day they brought me to a nearby spot to spend some hours sunbathing. I told the boat driver to come and get me at 6pm again as the sunset was then. He came with a 50 minute delay and left me waiting in the darkness all alone at this spot and didn’t even apologize. He only said, that many people checked in at this moment. That’s not how you treat your clients. Apart of these issues, the staff was friendly and the hostel was in good condition eventhough too expensive for what you receive. I heard from several similar issues with this hostel and would therefore not recommend it. I would rather stay somewhere in flores...
Read morePour une nuit épouvantable, choisissez Grethel !||||Tout commença pourtant par une première impression idyllique. Nous avons embarqué au Nord de Flores. Le bac frayait les eaux du lac, le paysage était relaxant. Nous avons accosté de l’autre côté sur un ponton intelligemment aménagé : hamacs, jolies tables, baffle auto-amplifié de taille impressionnante.||||Nous avons pris place dans l’un des nombreux dortoirs. Huit lits avaient été disposés dans une minuscule pièce de douze metres carrés. Peu de place pour circuler, l’espace a été rentabilisé au maximum, au mépris du confort. ||||Non loin de nous se trouvait le seul sanitaire de l’auberge : une seule toilette, douche et lavabo dans la même pièce. En pleine saison touristique, se laver les dents tient probablement du sport olympique. Surpris par le peu de lieu d’hygiène par rapport au grand nombre de dortoirs, j’ai posé la question au personnel. Ils m’ont fait découvrir une deuxième chiotte sous l’escalier. Seul point commun avec les Boeing’s 737 : il n’est pas possible d’y uriner debout. Des déchets industriels sont également accumulés dans ce réduit. En tant qu’heureux élu qui a pu accéder à la douche, je peux confirmer que l’eau est entre froide et tiède.||||Heureusement, l’hôtel est peu rempli en décembre. Les propriétaires ont cependant eu la délicate attention d’entasser les seuls septs clients dans le même dortoir. ||||Vingt deux heures, de l’électro-house a pulsé depuis le ponton, situé à exactement six mètres de mon lit. Pourtant, nul client n’était présent sur ce ponton. Vers minuit, les employés de l’hôtel m’ont expliqué qu’ils fêtaient un anniversaire et qu’ils n’avaient nulle intention de baisser la musique. Aucun client n’avait été prévenu de cette sauterie organisée par le staff et pour le staff. Progressivement, tous les employés se sont joints à la beuverie. Après les plaintes de plusieurs clients, le propriétaire de l’hotel eut la délicate attention de débarquer dans notre chambre pour fermer nos fenêtres. La sono tonitruante continuait de cracher ses décibels. ||||Une heure du matin, seul changement notable : le reggeaton a remplacé la techno. Les employés chantent, crient, courent torse nu, l’ambiance du samedi soir est au rendez-vous, du moins au sein du staff. Parmi les septs malheureux clients, le seul qui parvenait à dormir était un junkie, assommé par ce qu’il avait fumé. ||||Deux heures du matin. De l’autre côté du mur en carton, le jeune staff de l’hôtel passe des slows, toujours à fond la caisse. Ivres comme toute la Pologne, ils m’ont sorti que la police était plus tolérante en matière de bruit les samedi soir. Le patron m’a affirmé avec tout le sérieux du monde avoir l’intention de continuer jusqu’a l’arrivée des flics.||||Dans la chambre, nous nous sommes demandé tous les six comment changer d’hôtel, comment quitter cette techno parade dont nous étions les otages. Au départ mignon, l’emplacement de l’auberge devint une prison. Impossible en pleine nuit de traverser le lac pour s’installer dans une autre chambre à Flores.||||Quatre heure et demie du matin. La musique a enfin cessé. Un homme rentre dans la chambre pour appeler les touristes du matin pour Tikal. L’un des voyageurs le suit péniblement. Il s’était couché la veille à vingt heure. Ce pauvre homme avait prévu d’être frais pour le petit matin.||||Huit heure du matin. Certains ont réussi à dormir. En pleine gueule de bois, les employés nous réveillent en s’engueulent devant notre porte. Le sol de la salle de bain est couvert de pisse. Ni les prises de courant, ni le wifi ne fonctionnent désormais. Nous comprenons enfin pourquoi la musique s’est subitement coupée cette nuit. Lorsque le bruit cessa, nous avions cru y déceler de la bienveillance de leur part. Que nenni, ils y avaient simplement été contraint par une pane de courant. ||||Le staff, nullement désolé, refusa tout geste commercial le lendemain matin, malgré qu’ils aient activement travailler à nous faire passer une...
Read moreA little bit of a tight space in the dorm rooms, but everything else was fantastic. Staff very jovial and friendly, bathrooms cleaned regularly, lanchas available when you are ready to go explore flores, food made fresh, coffee a little weak, fresh drinking water mostly available for guests. Great view of sunset and flores. Beautiful dock and restaurant area to chill with friends, get to meet other guests, get some sun bathing, have a day or midnight swim, and walking distance to el mirador, the love tree, chechenal beach, a few hikes with great views, the museum, and a few little pop up restaurant and shops from peoples homes. People are very friendly and san miguel is a little cheaper as well as a great place to rest. Its a vibe of its own surrounded by flower bushes and plants. Access to the kitchen when its available and not being used for restaurant. Would recommend 2 days here to...
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