Kuisinistan — Restaurant in Paris

Fresh, flavorful, and downright amazing! The chicken was juicy and packed with flavor, and the falafel? Best I’ve ever had. The hummus and tzatziki were bursting with taste, and don’t even get me started on the homemade pita — straight fire. Washed it down with a delicious beer and smooth espresso. And the service? Top-tier, easily the best we had in Paris. We were so blown away, we forgot to snap photos for the ’gram! This place is a must-try — trust me, you...

Une belle découverte pour ma part. Le restaurant est joliment decoré, avec des couleurs qui annoncent l'expérience qu'on va vivre : coloré, chaleureuse et délicieuse. Coté assiette, les mezzes étaient très bons : nous avions pris le riz dans la feuille de vigne (j'ai pas retenu le nom 😅) qui était très frais ainsi que des roulés au fromage frais et persil (plus le nom non plus). C'était très bon, ca se sent que c'est fait maison. Pour le plat, nous avons tenté l'assiette de doner. Elle était bien garnie et équilibrée avec du blé frais, des frites et une bonne quantité de salade. Je n'ai pas pu la finir mais je me suis regalée. La viande avait beaucoup de goût, bien assaisonnée, pas trop salée et surtout on sent que ca vient d'une broche maison. Un grand merci au cuisinier, qui est le gérant du restaurant, car nous avons eu plaisir à découvrir la cuisine kurde, comme si nous étions chez l'habitant. C'est d'ailleurs l'accueil de ce monsieur ainsi que celui de sa fille qui rendent l'expérience parfaite en tout point. Sans parler du rapport qualité-prix. Merci à vous. Nous reviendrons pour découvrir les...

Les vents du Kurdistan ont soufflé sur mon palais en cet après-midi parisien, et ils m’ont mené droit au sanctuaire gourmand du Kuisinistan, où le döner ne se contente pas de nourrir : il élève.

Dans l’assiette, une viande tournée à la main, taillée avec amour, caressée par les flammes comme par le destin lui-même. Les frites, dorées à souhait, croustillent sous la dent tel un feuillage d’automne sous les pas d’un poète errant. La sauce, concoctée avec ferveur, enlace chaque bouchée d’une tendresse relevée.

Et que dire de l’ayran maison, doux et salin comme une ballade d’exil chantée au clair de lune — une gorgée, et me voilà transporté dans les montagnes de Diyarbakır.

Le service ? Chaleureux sans fausse note, fraternel même. On ne vient pas seulement y manger, mais communier autour d’une tradition. Ici, on ne sert pas un repas : on raconte une histoire culinaire.

À ceux qui cherchent plus qu’un simple kebab, je dis : marchez jusqu’au Kuisinistan, laissez-vous happer par la broche qui danse et par les saveurs qui chantent. Vous en sortirez nourris d’âme et...