We went into this pastelaria, hoping for some lunch. we were directed to their cafe next door, bearing the same name. The interior was quite nice. The servers were excellent. The meal, however, was the worst we've had in a very long time. We each ordered a veal cutlet. What arrived was a lukewarm slab of meat, curled up at the edges, and full of gristle and fat. Nearly inedible. It was so cold, in fact, that the herb butter accompanying it would not melt. It arrived with a small bowl of some kind of pureed spinach, also lukewarm at best, and of a strange, gelatinous texture. The French fries were acceptable. My husband went out on a limb and ordered their creme brûlée for dessert. It arrived with two spoons. In breaking the burnt sugar on the top, we discovered that the creme was completely liquid, like a pourable custard. We'd been honest with our server and told him that the veal cutlet was very sub-standard, and received no comment from him. The server who brought the creme brûlée returned to see how we liked it, and I mentioned that it was not a real creme brûlée, it must have been made from a powdered mix. He said, "No, it was Portuguese style" creme brûlée. I then mentioned that we live in France, and that this was typical of creme brûlée made from a powdered mix, with water added. He then admitted that indeed, it was. We received no apology, nor price adjustment for this horrendous meal, served cold. I noticed that the people seated in front of us were not happy with their meal, either. Give this...
Read moreIt's a bit of a mystery, to me, why Versailles, owning what probably is the most eye-catching and comfortable restaurant/cafe in Lisbon Airport's boarding plaza, leaves its iconic restaurant in Av. da República in such disarray. The place is a Hollywood-grade setting of sad decadence from grandeur; something you see in Havana or Buenos Aires.
They just gave up offering an afternoon tea menu ("the mini snacks are only done in the mornings"; "if you want the mini delicacies you see in the menu, you have to say which ones you want"). Maybe that's why the waiter gives you the "Restaurant Menu" at 5 pm, until it occurs to you asking "is there an afternoon tea menu?". Yes, there is, and only after being asked for, it is brought to the table.
The service is a mixed experience ("schizophrenic" may describe it better) of an attentive waiter alternating with an intently unfriendly one. There's also a clear unbalance between the high number of behind-the-counter servicemen (who seem to occupy a higher grade in the food chain) and the not-enough (though still relaxed and inattentive) number of table waiters.
It's not surprising that some of the patrons come in just for a glass of beer, standing up at the counter, as if this is just a corner pub,...
Read moreSpécial Portugal
Après deux jours à nous éreinter sur les collines de Lisbonne, nous étions prêts pour une journée... à nous éreinter sur les collines de Sintra. Pour atteindre cet objectif, nous avions surchargé notre journée avec une visite de trois châteaux en sept heures, et il fallait encore nous y rendre en voiture de location. Pour gagner du temps, nous devions aussi déjeuner sur le pouce en trouvant un café-pâtisserie près d'une sortie de métro. Un tel repère existait : le Versailles, à un saut de la station Saldanha.
Symbole de Lisbonne, le café Versailles se dresse comme une toile d'une époque révolue, où la grandiloquence de l'Art Nouveau de 1922, les tables nappées de blanc et les employés en uniforme au pas véloce contrastent avec la modernité de ses convives, portable sous les mains, écouteurs dans les oreilles, veste bombée sur le dos. Une impression de chaos s'en dégage, une confusion artistique où les détails foisonnent mais se font opposition, accentuée par la disposition asymétrique des tables. À ces dernières, on s'y assoit en toute quiétude. Les gens pressés, quant à eux, restent debout, ancrés sur le plancher aux carreaux, directement derrière le présentoir des pâtisseries.
Pour passer ma commande, j'ai compris que je ne devais pas me gêner et m'insérer entre deux clients sirotant leur café. Puis, une fois qu'on est venu me voir, le serveur allait me suivre le long des trois ou quatre mètres de comptoir où je devais pointer les produits de mon choix, parfois dissimulés derrière le veston d'un homme en complet.
Pour nous sustenter au cours de la longue journée qui nous attendait, j'ai choisi du salé et du protéiné : des croissants fourrés, des pains à la saucisse, etc. Une erreur de communication a fait atterrir deux chocolats chauds dans mes mains, mais il n'y avait pas de regret à avoir, puisque c'était la meilleure chose que nous ayons consommée de l'établissement. Du reste, le souci de la quantité semble l'emporter sur la qualité, puisqu'il n'y avait aucun relief digne de mention ni dans les saveurs, ni dans les textures. Nonobstant, des visites subséquentes à d'autres locaux du même genre m'ont démontré que cette lacune s'y répète et que, pour vraiment être satisfaits de notre visite, il fallait plutôt miser sur le sucré.
Dans tous les cas, nous avions fait le plein de calories dont nous avions besoin. La journée a été extrêmement rude sur les jambes et, grâce au Versailles, elles ont tenu le coup. À épingler sur votre carte si l'Art Nouveau vous interpelle ou si vous cherchez un chocolat chaud en route de ou...
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